JOURNAL DU FESTIVAL de CONILHAC 2011 Rédacteurs du Journal  : Babeth PORCARELLI, Vicky et Jean Michel CHESSARI, René GRAUBY

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LES ECHOS

Les échos du festival sont récoltés par nos fouines au cours des soirées du festival. Il nous est très difficile de reproduire des échos pour cette première. Nous vous proposons donc de retrouver quelques échos colportés au cours des précédents festivals mettant en scène les bénévoles conilhacois. Ceux-ci se tiennent d’ailleurs à votre disposition pour vous éclairer. (Première mouture: Echos de 1998 à 2002…la suite dans les prochains « Echonilh’Jazz »)
1988: * Le son du festival sera drivé par notre ami « Alets » qui navigue comme un poisson pilote dans le festival. Personne d’autre ne connaît mieux que lui les murs de la salle des fêtes et les artistes qui se succèdent n’ont qu’à se louer de ses services. Sa patience, sa compétence et son investissement au sein de l’association sont très appréciés par les responsables conilhacois. * L’accueil et la convivialité sont les atouts-maîtres de J/C. Au seul mot de Champagne prononcé l’autre soir par Joe Lee Wilson, au détour d’une chanson, deux diables sont sortis du bar pour lui amener une bouteille sur la scène. La plus embarrassée de tous fut sans contexte Marylène qui dut attendre la fin de la chanson improvisée à cet effet. Quant à Alain, il voyait déjà Bobby Few d’un autre œil. 2000: * « Sécurité » (Robert) a failli rendre son badge en voyant un spectateur de 2 m. de haut. Nous lui avons proposé des talonnettes pour la semaine d’après et tout est rentré dans l’ordre. * Notre chef cuisinière Clotilde a été demandée en mariage, à genoux par Allen Kirk, le batteur de Magic Slim. Il a voulu l’emmener aux USA pour ouvrir un restaurant. Il faut dire que le cassoulet de Clotilde et de Suzanne en valait la peine. Malheureusement, Allen n’aime pas le café et Clotilde aime que le lui porte au lit tous les matins. Elle est donc restée avec nous. Quelle chance ! * Mais que faisait donc Babeth dans le confessionnal pendant le concert de Gospel ? Croyant qu’elle souhaitait une confession tardive ou qu’elle voulait simplement rentrer dans les ordres, ses amis de l’association ont appris, un peu déçus, que celle-ci avait simplement trouvé le meilleur angle possible pour la prise de photos. * France3 a eu l’honneur de recevoir un illustre invité: notre président René Grauby est enfin passé à la télévision pour présenter le festival de Jazz/Conilhac. Très bonne prestation et un très grand sang froid devant les caméras, soutenu par Jean Michel. Cependant l’entrée au studio s’est faite après une séance de maquillage digne de « la cage aux folles ». Fond de teint, poudre, rouge à lèvres, le tout faisant disparaître toutes ses rides et lui donnant une peau lisse comme celle d’un bébé. Après l’émission, il a refusé de se démaquiller pour montrer à Anne comme il était bien « pomponné ». Inconvénient: Jean Michel et René n‘ont même pas pu s’arrêter à Sète pour manger un plateau d’huîtres à cause du maquillage et du couple tendancieux qu’ils formaient alors. 2001: * Vu le temps clément et la température rafraîchie, Raymonde a remis sa robe de soirée pour grands froids: la sac poubelle de chez SIVOM…et ça marche. * Néné n’a toujours pas compris pourquoi on a fait venir à Conilhac un musicien d’orgue quand nous avons une spécialiste locale qui officie à l’église. 2002: * Voyant un jeune homme qui attendait dans l’entrée, Hélène, chargée du placement, lui a demandé son ticket pour l’installer. Mais il s’agissait de Noé Reinhardt, un des musiciens de la soirée. En constatant sa méprise, Hélène a piqué un des plus beaux fards que l’on n’ait jamais vus. * Babeth a voulu « faire la belle » en mettant des talons pour la soirée. A l’entracte, elle est allée changer de chaussures. La prochaine fois, elle va demander à Néné de lui prêter ses charentaises. * Des spectateurs ont enguirlandé Jocelyne parce qu’il n’y avait rien à manger avant le concert et que leurs enfants n’avaient pas dîné. En désespoir de cause, Jocelyne leur a proposé des chocolats chauds, les deux seuls vendus de la soirée. * C’est en partie Jean Michel qui met en place les articles pour le journal. Malheureusement, il ne les coupe jamais droits comme René le lui a fait remarquer. Ce à quoi Jean Mimi a répondu : Je suis géomètre, pas couturière ».
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