Duende. L’âme en espagnol, ce sentiment indéfinissable qu’aime tant le contrebassiste et compositeur Avishai Cohen. « Le mot en lui-même sonne merveilleusement. C’est un feeling essentiel qui éclaire la musique !« . Duende, pour un duo basse-piano avec Nitai Hershokovits, un dialogue quasi-télépathique entre deux complices. »A deux, vous pouvez sonner plus large, en ayant plus d’espace. J’ai le sentiment que ce disque offre un horizon plus vaste que tout ce que j’ai pu faire précédemment.« 

Quelques standards revisités, quelques anciens thèmes à lui transfigurés et quatre nouvelles compositions inspirées. Au total trente-cinq minutes de musique. »Avec le jazz tout particulièrement, plus vous vieillissez, plus votre propos se précise. Vous jouez moins fort moins de notes mais votre parole porte plus. Nous avons livré ici nos expressions, sans artefact ni virtuosité. Parler avec son coeur, pas ses doigts.« 

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